Fiches individuelles


HERSTAL (de ) Grimoald II - 2 791 259 120 096
- Maire du Palais de Neustrie de 695 à 714, de Bourgogne de 700 à 714 et duc de Champagne et de Bourgogne de 708 à 714.

Naissance : J vers 680
https://fr.wikipedia.org/wiki/Grimoald_II
Décès : J avril 714 à Liège 4000

Père : HERSTAL (de ) Pepin II ( 640 - 714 )
Mère : AQUITAINE (d') Plectrude ( 665 - 718 )

Union : FRISE (de ) Theudesinde ( de Hollande) ( ~ 677 - ? )
Mariage : J 711
Enfant : NEUSTRIE (de ) Theobald ou Thibaud ( ~ 709 - 741 )
Note individuelle :

En 695, à la mort de Nordebert, maire du palais de Neustrie installé par Pépin, Grimoald est nommé par son père pour lui succéder1. En 700, son père le nomme également maire du palais de Bourgogne. Enfin, à la mort de son frère aîné Drogon, Pépin le Jeune lui transmet ses charges, celles de duc de Champagne et des Bourguignons2.

Le 13 décembre 710, il est nommé comme témoins dans une donation faite par le roi Childebert IV en faveur de l'abbaye de Saint-Denis. Son père le désigne ensuite pour lui succéder2.

En avril 714, alors qu'il était en train de prier sur le tombeau de saint Lambert à Liège, il fut assassiné par un Frison païen du nom de Rangar

HERSTAL (de ) Grimoald II
HERSTAL (de ) Pepin II
METZ ( d'AUSTRASIE) (de ) Angesisel
LANDEN (de ) Sainte Begge (Begga)
AQUITAINE (d') Plectrude
AQUITAINE ( de BAVIERE) (d') Hugobert
OEREN (d') Irmina




HERSTAL (de ) Nivelon 1er ou Nibelung Ier (D'Autun) - 1 395 629 561 088
- Comte d'Autun

Naissance : J vers 704
Décès : J 9 octobre 768

Père : AUTUN (d') Childebrand 1er ( ~ 680 - 752 )
Mère : AUSTRASIE (d') Chrodelinde ( 678 - 710 )

Union : LAON (de ) Rolande (Rolinde) ( ~ 700 - 750 )
Enfant : HERSTAL (de ) Childebrand II ( ~ 730 - 796 )
Autre enfant : MADRIE (de ) Thibert ( ? - ? )
HERSTAL (de ) Nivelon 1er ou Nibelung Ier (D'Autun)
AUTUN (d') Childebrand 1er
HERSTAL (de ) Pepin II
BRUYERES (D'AUSTRASIE) (de ) Alpais
AUSTRASIE (d') Chrodelinde
AQUITAINE ( de BAVIERE) (d') Hugobert
OEREN (d') Irmina




HERSTAL (de ) Nivelon II (Nivelung II de Bourbon) - 43 613 423 784
- Comte de Bourbon

Naissance : J 845
https://gw.geneanet.org/pierfit?lang=fr&p=nivelung&n=de+bourbon&oc=1
Décès : J 900 à Bourbon-L'Archambault 03160

Père : HERSTAL (de ) X2 ( ~ 810 - ? )

Union : X Cunegonde ( 850 - ? )
Mariage : J 868 à Bourbon-L'Archambault 03160
Enfant : BOURBON (de ) Aymar II (Adhemar II) ( 870 - 923 )
HERSTAL (de ) Nivelon II (Nivelung II de Bourbon)
HERSTAL (de ) X2
HERSTAL (de ) X1
 
 
 
 




HERSTAL (de ) Pepin II dit Pepin le jeune - 348 907 388 944
Duc des Austrasiens Maire du Palais de Neustrie (679-16/12/714)

Naissance : J 640 à Heristal
Décès : J 16 décembre 714 à Jupille-sur-Meuse 4020

Père : METZ ( d'AUSTRASIE) (de ) Angesisel ( 605 - 679 )
Mère : LANDEN (de ) Sainte Begge (Begga) ( 615 - 693 )

Union 1 : AQUITAINE (d') Plectrude ( 665 - 718 )
Mariage : entre J 670 et J 675
Enfants : CHAMPAGNE (de ) Drogon (de Herstal) ( 675 - 708 )
HERSTAL (de ) Grimoald II ( ~ 680 - 714 )
Union 2 : BRUYERES (D'AUSTRASIE) (de ) Alpais ( 654 - 705 )
Enfants : AUTUN (d') Childebrand 1er ( ~ 680 - 752 )
HERSTAL (de ) Charles ( 688 - 741 )
Note individuelle : Pépin II de Herstal, dit Pépin le Gros ou encore Pépin le Jeune1 (né vers 645 - mort le 16 décembre 714 à Jupille-sur-Meuse), est maire du palais d'Austrasie. Il est le fils d'Ansegisel (lui-même fils d'Arnoul de Metz), et de Begge d'Andenne, fille de Pépin Ier Le Vieux.
Biographie
Il est cité pour la première fois vers 675 comme duc d'Austrasie et en compagnie de Martin, dux de Champagne, en lutte contre Ébroïn, maire du palais de Neustrie, mais ils sont vaincus en 679 à Laon et le duc Martin tué. Ébroïn est assassiné en 681 par un seigneur franc, Ermenfroi, qui se réfugie à la cour d'Austrasie. Après une période de paix troublée avec le maire de palais neustrien Waratton, la guerre reprend en 687, et Pépin, après avoir défait le maire Berthar à Tertry, prend le contrôle de tous les royaume francs à partir de 690. Laissant l'Aquitaine de côté, il soumet ensuite les seigneurs de Saxe, de Frise, de Bavière et d'Alémanie2. L'autorité de Pépin fut acceptée difficilement. La Neustrie acceptait mal la domination de ce duc austrasien (Pépin nomma son fils Grimoald le Jeune Maire du palais en Neustrie) ; la soumission de la Bourgogne et de l'Aquitaine n'était que nominale ; dans les Sud et dans l'Ouest, les gouverneurs locaux avaient profité des guerres civiles pour étendre leur d'indépendance.
De plus, il délaisse son épouse Plectrude pour sa maîtresse Alpaïde et les partisans de chaque femme divisent la cour. Cette union est à l'origine de l'assassinat de Lambert, évêque de Tongres-Maastricht, futur saint Lambert, patron de Liège. En septembre d'une année sur laquelle les historiens ne parviennent pas à se mettre d'accord, 696 ou 705, Pépin II convie l'évêque dans son palais de Jupille, près de Liège, dans le but de lui demander de l'unir à Alpaïde. Pépin venait de répudier Plectrude mais l'évêque avait eu vent qu'un enfant était né hors mariage. Il refusa donc de les marier. Quelques jours plus tard, le 17 septembre, Lambert et ses neveux, Pierre et Andolet, sont assassinés par Dodon, frère d'Alpaïde, en représailles à son refus.
La caractéristique du gouvernement de Pépin de Herstal fut le rétablissement des assemblées annuelles, situé au Champs de Mars. S'y traitait majoritairement des questions militaires. La conquête de la Frise cisrhénane est la grande entreprise de son "règne". Contrôlant l'embouchure de la Meuse et du Rhin, la région est cruciale pour l'économie franque. La méthode qu'il utilise inspirera tous ses successeurs, jusqu'à Charlemagne lui-même : il lie en effet conquête militaire et christianisation. Il aide ainsi Willibrord dans ses efforts pour christianiser la Frise tout entière et y établir une hiérarchie ecclésiastique (création de l'évêché d'Utrecht).
À partir de la mort de Thierry III en 691, c'est lui qui fait et défait les rois. La dynastie mérovingienne n'est plus qu'un jouet entre les mains de celui qui prend le titre de princeps. Son pouvoir reste cependant personnel. Quand Pépin de Herstal meurt le 16 décembre 714, sa succession est disputée entre son petit-fils Théodebald, soutenu par sa grand-mère Plectrude, et son fils Charles, fils d'Alpaïde. Le conflit menace la lignée pipinnide elle-même (les Grands deNeustrie se révoltent) mais Charles finit par l'emporter, établissant fermement la dynastie carolingienne.
Pépin II de Herstal, dit Pépin le Gros ou encore Pépin le Jeune1 (né vers 645 - mort le 16 décembre 714 à Jupille-sur-Meuse), est maire du palais d'Austrasie. Il est le fils d'Ansegisel (lui-même fils d'Arnoul de Metz), et de Begge d'Andenne, fille de Pépin Ier Le Vieux. Il est cité pour la première fois vers 675 comme duc d'Austrasie et en compagnie de Martin, dux de Champagne, en lutte contre Ébroïn, maire du palais de Neustrie, mais ils sont vaincus en 679 à Laonet le duc Martin tué. Ébroïn est assassiné en 681 par un seigneur franc, Ermenfroi, qui se réfugie à la cour d'Austrasie. Après une période de paix troublée avec le maire de palais neustrien Waratton, la guerre reprend en 687, et Pépin, après avoir défait le maire Berthar à Tertry, prend le contrôle de tous les royaume francs à partir de 690. Laissant l'Aquitaine de côté, il soumet ensuite les seigneurs de Saxe, de Frise, de Bavière et d'Alémanie2. L'autoritéde Pépin fut acceptée difficilement. La Neustrie acceptait mal la domination de ce duc austrasien (Pépin nomma son fils Grimoald le Jeune Maire du palais en Neustrie) ; la soumission de la Bourgogne et de l'Aquitaine n'était que nominale; dans les Sud et dans l'Ouest, les gouverneurs locaux avaient profité des guerres civiles pour étendre leur d'indépendance. De plus, il délaisse son épouse Plectrude pour sa maîtresse Alpaïde et les partisans de chaque femme divisentla cour. Cette union est à l'origine de l'assassinat de Lambert, évêque de Tongres-Maastricht, futur saint Lambert, patron de Liège. En septembre d'une année sur laquelle les historiens ne parviennent pas à se mettre d'accord, 696 ou 705, Pépin II convie l'évêque dans son palais de Jupille, près de Liège, dans le but de lui demander de l'unir à Alpaïde. Pépin venait de répudier Plectrude mais l'évêque avait eu vent qu'un enfant était né hors mariage. Il refusadonc de les marier. Quelques jours plus tard, le 17 septembre, Lambert et ses neveux, Pierre et Andolet, sont assassinés par Dodon, frère d'Alpaïde, en représailles à son refus. La caractéristique du gouvernement de Pépin de Herstal fut le rétablissement des assemblées annuelles, situé au Champs de Mars. S'y traitait majoritairement des questions militaires. La conquête de la Frise cisrhénane est la grande entreprise de son "règne". Contrôlant l'embouchure de la Meuse et du Rhin, la région est cruciale pour l'économie franque. La méthode qu'il utilise inspirera tous ses successeurs, jusqu'à Charlemagne lui-même : il lie en effet conquête militaire et christianisation. Il aide ainsi Willibrord dans ses efforts pour christianiser la Frise tout entière et y établir une hiérarchie ecclésiastique (création de l'évêché d'Utrecht). À partir de la mort de Thierry III en 691, c'est lui qui fait et défait les rois. La dynastie mérovingienne n'est plus qu'un jouet entre les mains de celui qui prend le titre de princeps. Son pouvoir reste cependant personnel. Quand Pépin de Herstal meurt le 16 décembre 714, sa succession est disputée entre son petit-fils Théodebald, soutenu par sa grand-mère Plectrude, et son fils Charles, fils d'Alpaïde. Le conflit menace la lignée pipinnide elle-même (les Grands de Neustrie se révoltent) mais Charles finit par l'emporter, établissant fermement la dynastie carolingienne.

HERSTAL (de ) Pepin II
METZ ( d'AUSTRASIE) (de ) Angesisel
METZ (de ) Arnulf (Saint Arnould)
FERREOL Sainte Dode
LANDEN (de ) Sainte Begge (Begga)
LANDEN (de ) Pépin
IDOBERGE Itte ( de Nivelles)




HERSTAL (de ) Pepin III le Bref - 348 907 388 928
Maire du Palais (10/741-11/751) Roi des Francs ( 11/751-24/9/768)

Naissance : J 714 à Jupille-sur-Meuse 4020
https://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A9pin_le_Bref
Décès : J 24 septembre 768 à Choisy-au-Bac 60750
peut etre a st denis ?

Père : HERSTAL (de ) Charles ( 688 - 741 )
Mère : HESBAYE ( de HERSTAL) (de ) Chrotrude (Rotrude) (de Treves) ( ~ 695 - 724 )

Union : LAON (de ) Berthe Bertrade ( 726 - 783 )
Mariage : J vers 742 à Choisy-au-Bac 60750
Enfants : FRANCE (de ) Charlemagne ( 742 - 814 )
FRANCE (de ) Ermengarde ( 750 - ? )
HERSTAL (de ) Carloman 1er ( 751 - 771 )
HYPOTHESE 2 ? ( ? - ? )
X Mathilde ( ? - ? )
Note individuelle : Pépin est duc de Neustrie, de Bourgogne et de Provence. Il contrôle donc la moitié ouest du royaume Franc. Son frère aîné Carloman est au pouvoir en Austrasie.
747 : Carloman décide de se retirer dans un monastère. Pépin est maître du royaume Franc.

Reprend la Haute-Auvergne au cours d'une campagne en 767 où il prit Escorailles, Tournemire et Peyrusse, puis l'Aquitaine en 768 et reconquiert ensuite la Narbonnaise occupée par les Sarrasins.

Carloman vivra dans son monastère juqu'en 754.

Pépin contrôle désormais tout le pays, au nom du roi fainéant Childéric III.

Pépin le Bref soutient le Saint Siège. En remerciement, le Pape Zacharie décide de mettre fin à la mascarade des « Rois Fainéants » et autorise la destitution du roi Childéric III.

Les Mérovingiens perdent le pouvoir pour toujours.

A sa mort Le royaume est partagé entre ses deux fils : Charles et Carloman. Charles règne en Neustrie et Carloman en Austrasie.
Le 27 juillet 754, dans la basilique de Saint-Denis, au nord de Paris, le pape Étienne II sacre Pépin le Bref, lui confère les titres de roi des Francs et de Patrice des Romains («Patricius Romanorum»).

Pépin III est issu d'une puissante famille franque d'Austrasie (l'Est de la France). Il est le fils cadet de Charles Martel et son successeur.

Comme son illustre père, il a d'abord été le maire du palais (ou «majordome») des derniers rois mérovingiens.

Las de ces rois fainéants, lointains descendants de Clovis, les principaux seigneurs de Francie occidentale (la France du nord) offrent la couronne à Pépin. Ils le proclament roi des Francs au champ de mai de Soissons en 751.

Les évêques du royaume confirment aussitôt son élection par un sacre.

Le pape sacre à son tour Pépin Ie Bref, donnant davantage de lustre à son ascension. Ce faisant, il le remercie pour les engagements qu'a pris le chef franc à son égard.

Le 14 avril de la même année, à Quierzy-sur-Oise, au nord de Paris, Pépin III le Bref a promis au pape de le protéger des Lombards, barbares mal dégrossis qui occupent la péninsule italienne.

Il lui a aussi promis d'offrir au Saint-Siège un domaine assez grand pour le mettre à l'abri de toute agression.

Ce sera chose faite en 756 après une expédition militaire de Pépin contre le roi des Lombards, Athaulf. Les territoires qui lui seront enlevés formeront le noyau des futurs États pontificaux.

La papauté se détourne de Byzance

En échange de ces services, le pape confirme donc la royauté de Pépin le Bref sur les Francs.

Par cet acte, le pape prend ses distances d'avec l'empereur qui règne à Byzance.

Le Saint-Siège catholique s'en remet désormais de sa sécurité aux souverains francs. C'est le début d'une longue collaboration, souvent orageuse, avec les Carolingiens et leurs lointains héritiers du Saint Empire romain germanique.

A la fin du XIXe siècle, les militants anticléricaux dénonceront dans cette collaboration «l'alliance du sabre et du goupillon».

Le rite du sacre

Par le sacre, le futur roi des Francs (ou de France) reçoit sur le front l'huile sainte qu'aurait reçue Clovis lors de son baptême à Reims par l'évêque Rémi.

La Sainte Ampoule qui contient l'huile aurait été transmise à Rémi par un ange et son contenu se régénèrerait miraculeusement à chaque onction. Mais il ne s'agit là que d'une légende arrangée du temps des Capétiens par le moine Hincmar. En fait, le sacre était ignoré de Clovis et de ses descendants, les Mérovingiens.

Ces derniers prolongeaient en Gaule les traditions romaines et l'usage du latin. Ils étaient trop frottés de culture romane pour s'attacher à un rituel comme le sacre.

Les Carolingiens qui succèdent aux Mérovingiens sont, eux, issus de familles franques d'Austrasie (l'Est de la France actuelle) restées très proches des pratiques barbares. C'est pourquoi ils sont conduits à inventer le sacre.

Le sacre puise ses origines dans un rite germanique qui fait du roi l'intercesseur entre le monde divin et le monde humain.

L'onction de l'huile sainte correspond à une christianisation de ce rite païen.

Pépin III le Bref est le premier souverain occidental à être ainsi sacré en confirmation de son accession à la royauté.

Les rois capétiens, après Hugues Capet cultiveront plus tard une confusion entre le sacre germanique et le baptême que reçut Clovis à Reims, avec le souci d'enraciner leur légitimité au plus profond de l'Histoire.

Au fil des générations, le peuple et les nobles s'habitueront à voir dans le sacre un rite qui place le roi au-dessus de ses sujets. On prêtera aussi au roi la faculté de «guérir les écrouelles» pour mieux démontrer sa place à part dans l'humanité.

Les écrouelles, ou scrofules, sont une tuberculose ganglionaire qui se fistulise à la peau. Elles peuvent guérir spontanément jusqu'à la calcification du ganglion. Ainsi, après qu'un roi avait touché un malade, une guérison spontanée pouvait être interprétée comme étant liée au geste royal et son absence, comme le résultat de la volonté divine.

En pleine guerre de Cent Ans, quand deux rois se disputeront la couronne de France, c'est le sacre de Reims qui les départagera. Il rendra à Charles VII sa légitimité et lui permettra de réunir le royaume autour de lui, selon l'inspiration judicieuse de Jeanne d'Arc.

HERSTAL (de ) Pepin III le Bref
HERSTAL (de ) Charles
HERSTAL (de ) Pepin II
BRUYERES (D'AUSTRASIE) (de ) Alpais
HESBAYE ( de HERSTAL) (de ) Chrotrude (Rotrude) (de Treves)
HASPENGAU (de ) Lambert II (de Therouanne, D'Haspengau )
NEUSTRIE (de ) Chrodlindis


                     


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