Note individuelle
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Remarque : les de rangere sont a cette epoque des serfs. c'est pierre et son gendre qui sont affranchis en 1510. On peut se poser la question du pourquoi ? La reponse est vraisemblablement que son pere jean leger a épousé jeanne de chatillon en bazois de naissance noble. Et que pour tenir le rang de la famille il est de bon ton que ce mariage soit dans la lignée ..... Jeanne n'a sans doute pas réussi a faire affranchir son époux et on peut supposer alors que ce mariage ne fut pas forcement "volontaire ! peut etre une régularisation ? Mais elle a pu agir pour sa descendance et procurer a son fils un titre et un métier ! Quelle autre explication possible ? a defaut de trouver des éléments
J'ai recherché les chatillon en bazois connus pour essayer de la ratacher ! pour le moment sans succes.
Marié en 1504 avec la mère de Pierre DERANGÈRE (née en 1482). Famille DERANGÈRE : originaire de Villapourçon, en Morvan, le nom apparaît dans un terrier de La Roche Millay (58) le 7 février 1527 établit par Maître Guillaume Bailezy, notaire à Moulins-Engilbert (58) cote 3E1 292 dans lequel sont inventoriés tous les biens des familles Lemoine de Villapourçon (58) et dont certaines terres sont attenantes à celles de Rangère, allant de Villapourçon au moulin de Rangère.), dont · Pierre Derangère · Probablement Jehan Derangère · Benoist Derangère qui n'est pas obligatoirement frère de Pierre · Antoine Derangère qui n'est pas obligatoirement frère de Pierre Cité en 1566 dans un acte notarié coome commun personnier de son oncle Pierre Derangere Léger Derangere est notaire au baillage du nivernois et réside à Rangère paroisse de Villapourçon, il est cité plusieurs fois dans un terrier du 25 octobre 1660 passé pardevant Guiilier ( "qui fut fils de Léger Derangère"). Il semblerait qu'il soit décédé peu avant le 13 novembre 1598 puisqu'à cette dâte, sa femme Dame Lazotte Marceau et son fils M. Jehan Derangère curé s'occupent d'un héritage (Léger n'y est pas mentionné). Après Jehan D. curé, un second fils prénommé Pierre est cité lui aussi dans ce terrier de 1660, il est père de Jehan Derangere l'aisné (X en décembre 1641 à Jeanne Devillechaize), de Jehan Derangère le jeune (X Marie Perraudin) et de François Derangère (qui est aussi Prêtre curé de Villapourçon). La femme de Pierre D. (et mère des dits Jehan l'aisné, Jehan le jeune et François curé) n'est autre que Claudine Gaulmoy Le troisième fils de Léger est Claude Derangère marié à Toussaine Cloix, parents de Mathieu, Jehanne et Pasquette (cités également dans le terrier) mais encore de Jehanne, Jehanne, Benoiste et Marie Derangere. Jehan Derangère, quatrième fils, probablement (mais pas prouvé) marié à Barbe Bazot de Château Chinon, parents de Jean et Pasque Derangère de Villapourçon. Claudine Derangère seule fille connue de Léger et Lazotte Marceau, est unie avec Jehan Noury meunier. (Didier Gauthier)
Descendant, probablement, de Eudes 1er (né vers 1160) et Alix de Glenne (née vers 1165) originaire de La Rochemillay. Si celà, s'avère exact, ça signifie que par l'épouse de Girard de Chatillon en Bazois, marié par contrat en 1314, la branche remonte à Saint Louis puis à Hugues Capet. (à vérifer !)
Notes individuelles
Naissance: Plus ancienne présence au 1/07/2005 retrouvé sur arbre (Fin Règne de Louis XI et début du règne de Charles VIII )
DERANGERE Pierre né en 1480. 2 enfants sont nés de mère non dénommée : 1. DERANGERE Pierre, , né en 1505. 2. DERANGERE Jean, né en 1510. Uni avec DECHANGY Jeanne (Vue sur site perso de VENDANGEUR )
Ecuyer trouvé sur le site Lefevre-campas (jlefeb) sur Planète Généalogie A partir du XIVsiècle apparaissent, dans les cours princières, des charges d'Ecuyer sans rapport avec la chevalerie. Il existe différents titres d'Ecuyers : le grand Ecuyer qui a la charge des chevaux de la Cour et l'Ecuyer tranchant qui découpe la viande royale ; Ã la Cour de France, il y a également un premier Ecuyer qui s'occupe aussi des chevaux de la Cour. Ecuyer Il y avait certains emplois dans le service militaire et quelques charges qui donnaient le titre d'Écuyer, sans attribuer à celui qui le portait une noblesse héréditaire et transmissible, mais seulement personnelle, c'était ainsi que la déclaration de 1651, et l'arrêt du grand conseil, disaient que les gardes-du-corps du roi pouvaient se qualifier Écuyers ; ses commissaires et contrôleurs des guerres et quelques autres officiers prenaient aussi de même le titre d'Écuyer.
Vraisemblablement descendant de Eudes Ier de CHATILLON EN BAZOIS et Alix de GLENNE (XIII° s.) Les de rangère étaient les " nobles de villapourcon a a rattacher SOIT A CHATILLON SOIT A GLENNE ". (recherches de Jean SUZEAU identifiant Généanet: "jrsuze ")
Source Généanet identifiants : " christian79 " et " jcb92 " Tout sur la généalogie des DERANGERE, Descendant, probablement, de Eudes 1er de CHATILLON EN BAZOIS (né vers 1160) et Alix de Glenne (née vers 1165) originaire de La Rochemillay. Si celà, s'avère exact, ça signifie que par l'épouse de Girard de Chatillon en Bazois, marié par contrat en 1314, la branche remonte à Saint Louis puis à Hugues Capet. (à vérifer !)
Famille DERANGERE
Originaire de Rangère, Villapourçon, dans le Morvan, le nom appparaît déjà dans un terrier de La Roche Millay le 7 février 1527 établi par Guillaume Bilezy notaire à Moulins-Engilbert(3E1 292) dans lequel sont inventoriés tous les biens des familles Lemoine de Villapourçon et dont certaines terres sont attenantes à celles de Rangère, allant de Villapourçon au Moulin de Rangere. Par une vente reçue par Jacques Bailezy, le 12 novembre 1566 (3E1 296)deux descendances de cette famille existent alors.L'acte commence ainsi:"Notaire du roy comparurent en leurs personnes Benoist Derangere laboureur demeurant au village de Rangere paroisse de Villapourçon et Lazotte Lemoine sa femme de luy suffisament autorisé guillaume, Benoist et Philippe De rangere ses enfants et de feue Marye Develle leur mère et première femme du dit Derangere leur père de luy suffisament autorisé. Laquelle autorité ils ont promis et accépté lequel et chacun d'eulx... et pour tout renonce au bénéfice de di...sion et ordre de dis...tion confessent avoir vendu ... vendent cèdent et transpourte à Pierre Derangere laboureur demeurant au dit lieu ... pour luy et Léger Derangère son nepveu absent et pour leurs hoirs et commungs personniers c'est à savoir une maison ou le dit Derangere sa femme et enfants font leur demeurant et une grange le tout entretenant ensemble un jardin devant et l'ouche devant la maison assise au finage ... pour le tout trois boisselées de terre ou environ... d'une part au grand chemin venant de chastel chinon allant de la Roche Millay d'aultre à l'ouche des acquéreurs et d'aultre à l'ouche d'Antoine Derangere d'aultre part..." Cet acte de vente comporte cinq pages et on trouve mentionné les noms suivants: Jean Letourneur, Jacques Debard marchand, Pierre Balard, Léger De Sangy (ou Changy?) Jacques Martin (ou Martinet?) Jacques Jarry. Pierre Derangere et Léger Derangere son Neveu Promettent de rembourser pendant quinze ans. On retrouve quelques années plus tard Pierre Derangere cité dans un épais terrier de la terre et baronnie de La Roche Millay auquel a procédé Maître Jacques Bailezy notaire royal de Monsieur Guillaume et François de Montmorancy le cinquième novembre 1579 et comportant cent cinq pages. "Comparut personnellement Pierre Derangere laboureur demeurant au village de Rangere paroisse de Villapourçon lequel pour luy gaspard Berthier son gendre Claudine femme du dit Berthier sa fille et pour Jehanne et Benoiste Grandjehan enfants de feu Symon Grandjehan et de la Claudine sa fille du premier lict et pour leurs hoirs commungs et personniers..." Dans ce terrier sont également recensées les familles Lemoine descendants de celles citées dans le teriers de 1527 et très nombreuses, des familles Delavault, Clément, Martinet, Martin, Taignot, Marceau, De Vesle. A noter que dans la portion concernant la famille Marceau, figure une certaine Leonarde Derangere femme de Jehan Marceau fils de Martin Marceau, contemporaine de Claudine Derangere citée plus haut, mais dont on ne connait pas l'ascendance. On peut remarquer toutefois que les familles Derangere, Alexandre, Martin, Lemoine, Marceau, Develle, Bondos, Martinet, Clément, Perraudin Berthier et autres familles sont déjà présentes sur Villapourçon et entretiennent des relations étroites ensembles de part leur proximité et de part leurs liens familiaux. A suivre Passons directement en 1660, je reviendrai plus tard sur les actes intermédiaires,c'est un acte notarié comportant six pages et interesant par les filiations Derangere, passé chez Maître Guillier et qui débute ainsi: "Du 25 octobre 1660 Comparurent en personnes Messire François De Rangere pretre cure de Villapourçon Jehan Derangere laisne tant pour luy que pour Jehanne Devillechaise sa femme Jehan François ... et Jehanne De Rangere ses enfants Jehan De Rangere le jeune tant pour luy que pour Marie Perraudin sa femme François Claude et Jehanne De Rangere ses enfants, les dits Mesire François Jehan et Jehen De Rangere enfants de Pierre Derangere qui fut fils de Maitre Leger Derangere vivant notaire au duché du Nivernois et Dame Lazotte Marceau Claude De Rangere tant pour luy que pour Toussine Cloix sa femme Mathieu Jehanne et Pasquette De Rangere leurs enfants le dit Claude aussi fils des dits Leger De Rangere et de la dite Marceau Jehan De Rangere tant pour luy que pour Françoise Marceau sa femme Pierre et Gilbert De Rangere leurs enfants et encore pour Pasque De Rangere ... frere et Toussaine Cloix sa femme et leurs enfants tous laboureurs demeurant au village de Rangere paroisse du dit Villapourçon...." La composition de leurs héritages est décrite dans la suite de l'acte, sont cités également Jean Bondos , Esmilland Lemoine, Leonard Dauteloup praticien à St Honoré Gaspard Millary et Jacques Bourgoin laboureur à St Honoré. A noter que Jehan et Pasque Derangere sont fils de Jehan qui fut fils ausi de Leger Derangere et de Lazotte Marceau (renseignement donné par Alain Mantin, grace à son excellent travail sur les dispenses de mariage qu'il a relevé à Mâcon). Il faut savoir aussi que tous leurs enfants ne sont pas cités dans cet inventaire de leurs biens. On y parle aussi d'un acte qui a été passé par Lazotte Marceau et Messire Jehan Derangere son fils au profit de Messire Jean De Chandon? sergent de La Montagne par contrat reçu Ballezy et Dubois notaires le troisième jour de novembre 1598. Cet acte, je ne l' ai pas trouvé. A suivre, si des erreurs sont relevées, ne pas hésiter à me les communiquer. Inventaire des biens de la famille Berthier Du 25 octobre 1660 "Comparurent en personne François berthier laboureur demeurant au village de Rangere paroisse de Villapourçon tant pour luy que pour Marie De Rangere sa femme Jehan berthier laisne son fils Esmilland berthier Jehan Berthier lejeune et Michelle Berthier leurs enfants Michel Joyeux mary exerçant les actions de Jehanne berthier soeur dudit françois berthier laboureur demeurant au village et paroisse de Glux tant pour luy sa femme que pour charles Joyeux leur fils Jehanne? et jehanne et leonarde Joyeux leurs filles Les dits François et jehanne joyeux (erreur Berthier) enfants de feu Jehan berthier qui fut fils de Gaspard..." Passé chez Maître Guillier. Description des biens de la famille.On y parle des terres des habitants de Rangere qui fut à Leger De Rangere. Un acte notarié à été passé le 13eme jour de novembre 1598 par Gaspard Berthier au profit de Messire De Chandon? seigneur de La Montagne. Fait en présence de Messire François Derangere pretre curé de Villapourçon et Messire Pierre Bonneau pretre curé de St-Honoré, Leonard Dauteloup praticien St-Honoré. Descendant de plusieurs branches de la famille DERANGERE (ainsi que de la majorité des vieilles familles de Villapourçon) vos documents m'interessent beaucoup; est ce aux AD de Nevers qu'ils sont consultables ? Sur le fond j'ai 2 remarques : il manque le haut de la famille Derangere qui est indiquée dans "le Morvan" de Baudiau (la source étant à mon avis le terrier du Chateau de la Montagne à St Honoré) Baudiau écrit :Rangere avec Moulins était un fief dans la dépendance des seigneurs de la Montagne.Il a donné son nom à une famille jadis nombreuse. Pierre De RANGERE et Gaspard BERTHIER son gendre furent affranchis en 1510 par Guillaume de GRANDRYE moyennant 80 écus sols, une rente annuelle de 12 sous, une poule et un boisseau et demi d'avoine. Pour la petite histoire, c'est un ascendant de mon épouse (Guillaume de GRANDRYE ) qui a affranchi mon ascendant Pierre de RANGERE . Malgré la particule, il n'y a pas de noble chez les de RANGERE alors que Guillaume de GRANDRYE etait ecuyer, grenetier de Moulins seigneur de Dun/Grandry, la Montagne...et de Ste Pereuse qu'il tenait de sa mere, une descendante des ducs de Bourgogne, rois de France de 1200 jusqu' a 400 (Chlodion le Chevelu) Encore pour la petite histoire sa fille Catherine (toujours ancetre de ma femme) apres la mort de son mari Guillaume Des JOURS, fut jugée à 24 ans pour inceste, soumise à la question, torturée, puis relaxée faute de preuve. Son frere Charles etait Chevalier du roi, ambassadeur ... et son frere Albert Chevalier,grenetier de Moulins Ma deuxieme remarque concerne Jehan, pere de Leger et fils du Pierre affranchi : certains arbre sur Geneanet le marie à Jeanne de CHANGY. Je ne connais pas de DECHANGY ou de De CHANGY dans le Morvan (bien que Changy soit un hameau de Villapourçon. Est ce que elle ne serait pas une De Chaugy ?(dans ce cas peut etre une descendante des De CHAUGY, ancien comtes de Roussillon)
Ecuyer trouvé sur le site Lefevre-campas (jlefeb) sur Planète Généalogie A partir du XIVsiècle apparaissent, dans les cours princières, des charges d'Ecuyer sans rapport avec la chevalerie. Il existe différents titres d'Ecuyers : le grand Ecuyer qui a la charge des chevaux de la Cour et l'Ecuyer tranchant qui découpe la viande royale ; Ã la Cour de France, il y a également un premier Ecuyer qui s'occupe aussi des chevaux de la Cour. Ecuyer Il y avait certains emplois dans le service militaire et quelques charges qui donnaient le titre d'Écuyer, sans attribuer à celui qui le portait une noblesse héréditaire et transmissible, mais seulement personnelle, c'était ainsi que la déclaration de 1651, et l'arrêt du grand conseil, disaient que les gardes-du-corps du roi pouvaient se qualifier Écuyers ; ses commissaires et contrôleurs des guerres et quelques autres officiers prenaient aussi de même le titre d'Écuyer. Famille De Rangère originaire de Villapourçon en Morvan. Le nom apparait dans un Terrier de Larochemillay le 7 février 1527 établi par Maître Guillaume Bailezy, notaire à Moulin Engilbert (cote 3E1 292) dans lequel sont inventoriés tous les biens des familles Lemoine de Villapourçon et dont certaines terre sont attenantes à celles de Rangère, allant de Villapourçon au Moulin de rangère dont: Pierre Derangère Inconnu Derangère (Texte trouvé sur Généanet -Didier gauthier cousin généalogique) Vraissemblablement descendant de EUDE 1er DE CHATILLON EN BAZOIS et ALIX DE GLENNE (Seigneur de Larochemillay) nés respectivement 320 et 315 ans avant lui ? (Recherches faites et en cour par un cousin éloigné: SUZEAU Jean) Terriers Un livre terrier, ou terrier, est un registre contenant les lois et usages d'une seigneurie, la description des bien-fonds, les droits et conditions des personnes, ainsi que les redevances et obligations auxquelles elles sont soumises. À partir du XVe siècle, les terriers s'imposèrent comme outils de l'administration seigneuriale : l'évolution de leur présentation traduit chez les seigneurs une volonté de perfectionner et d'améliorer la gestion de leurs terres. Les terriers sont les héritiers lointains des polyptyques carolingiens et des censiers des XIe et XIIe siècles. Pour faire l'inventaire des censives, les seigneurs devaient obtenir l'adhésion et la participation active des tenanciers pour venir déclarer, devant le notaire choisi par le seigneur, le montant et la nature des redevances qui leur incombaient, et décrire les terres sur lesquelles elles étaient assises. Pour obliger les tenanciers - naturellement récalcitrants - à passer reconnaissance, les seigneurs firent appel aux autorités publiques, royales ou princières, qui leur délivrèrent des lettres à terrier (ou lettres patentes) et qui trouvèrent, dans cette pratique, une nouvelle source de revenus et un moyen de faire reconnaître leur autorité judiciaire. Les seigneurs avaient ainsi la possibilité de recourir à la justice princière ou royale pour contraindre leurs tenanciers récalcitrants. Le terrier est donc un recueil d’actes, ou reconnaissances, passés devant notaire par les tenanciers du seigneur à une époque donnée. Par la reconnaissance, le tenancier reconnaît tenir en servitude du seigneur la ou les parcelles dont il est possesseur à titre précaire et lui devoir, tels cens ou servis annuel, ainsi que les lods ou milods en cas de mutation. La reconnaissance implique l’identification de la parcelle, par sa nature (terre, pré, bois, vigne, grange, habitation, etc.), par sa contenance (à Lyon : bicherées, hommées, fessorées, etc.), par sa situation (paroisse, lieu-dit, rue, etc.) et ses confins dont sont donnés également nature et possesseurs. Telles sont les précisions que devait apporter la reconnaissance idéale. En 1678, un règlement de Colbert décida l'envoi d'un exemplaire à la chambre des comptes locale, le second exemplaire demeurant chez le propriétaire. Un arrêt du Conseil d'État du 21 août 1691 créa à Paris un dépôt destiné à regrouper un exemplaire de tous les terriers du royaume. La gestion du dépôt fut calamiteuse et il brûla en 1737. La destruction par le feu de milliers de terriers à l'été 1789 et dans les années 1790-1792 a surpris et dérouté les contemporains de l'évènement. En effet, le contenu des cahiers de doléances ne remettait pas en cause l'existence des terriers, mais ceux-ci sont devenus l'enjeu du contrecoup de la réaction féodale des années qui précèdent la Révolution française qui vit le renouvellement de beaucoup de terriers, en demandant aux feudistes de procéder par là à la restauration de droits seigneuriaux oubliés. À partir de juillet 1789 débute une série de « guerres contre les châteaux » alimentée par une législation hostile. Elle vise plus particulièrement les terriers et les papiers qui légitiment le régime seigneurial. Dans la nuit du 4 août 1789, l'Assemblée nationale déclare « détruire entièrement le régime féodal », mais distingue en fait entre les droits féodaux dont certains sont déclarés rachetables : ce sont justement eux qui figurent dans les terriers. Devant cette situation confuse qui provoque des troubles, le législateur décide finalement, le 17 juillet 1793, de supprimer toute trace de la féodalité. Les terriers déposés avant le 10 août devront être brûlés en présence du conseil général de la commune. À la suite des protestations des propriétaires (en particulier en Bourgogne), l'application de la loi pourra être suspendue jusqu'à l'établissement d'un cadastre. Avant l'existence du cadastre créé par Napoléon Ier en 1807, les seuls plans ou récits permettant de connaître les propriétés sont donc les plans terriers. Il est inutile d’insister sur l’intérêt de tels documents lorsqu’ils sont explicites. Intérêts des terriers en généalogie : souvent mis à jour lors des successions/changement de tenancier énumèrent les propriétaires précédents qui ne sont autres le plus souvent que les propres parents du nouvel exploitant Notes concernant l'union mariage: calendrier Julien Famille De Rangère originaire de Villapourçon en Morvan. Le nom apparait dans un Terrier de Larochemillay le 7 février 1527 établi par Maître Guillaume Bailezy, notaire à Moulin Engilbert (cote 3E1 292) dans lequel sont inventoriés tous les biens des familles Lemoine de Villapourçon et dont certaines terre sont attenantes à celles de Rangère, allant de Villapourçon au Moulin de rangère dont: Pierre Derangère Inconnu Derangère (Texte trouvé sur Généanet -Didier gauthier cousin généalogique) Vraissemblablement descendant de EUDE 1er DE CHATILLON EN BAZOIS et ALIX DE GLENNE (Seigneur de Larochemillay) nés respectivement 320 et 315 ans avant lui ? (Recherches faites et en cour par un cousin éloigné: SUZEAU Jean) Deces: Source Généanet identifiant: " pmarquez " Famille De Rangère originaire de Villapourçon en Morvan. Le nom apparait dans un Terrier de Larochemillay le 7 février 1527 établi par Maître Guillaume Bailezy, notaire à Moulin Engilbert (cote 3E1 292) dans lequel sont inventoriés tous les biens des familles Lemoine de Villapourçon et dont certaines terre sont attenantes à celles de Rangère, allant de Villapourçon au Moulin de rangère dont: Pierre Derangère Inconnu Derangère (Texte trouvé sur Généanet -Didier gauthier cousin généalogique) Vraissemblablement descendant de EUDE 1er DE CHATILLON EN BAZOIS et ALIX DE GLENNE (Seigneur de Larochemillay) nés respectivement 320 et 315 ans avant lui ? (Recherches faites et en cour par un cousin éloigné: SUZEAU Jean)
Notes concernant l'union
Mariage: vraisemblablement descendant de Eude de chatillon en bazois et alix de glenne seigneur de larochemillay nes 320 ans avant lui.
Marié en 1504, villapourcon,, avec V Y 1482, dont Sources Généanet Pseudo:" Claude1948"
Marié avec Ne/Yv Inconnu/illisible Famille De Rangère: originaire de Villapourçon, en Morvan, le nom apparaît dans un terrier de La Roche Millay (58) le 7 février 1527 établit par Maître Guillaume Bailezy, notaire à Moulins-Engilbert (58) cote 3E1 292 dans lequel sont inventoriés tous les biens des familles Lemoine de Villapourçon (58) et dont certaines terres sont attenantes à celles de Rangère, allant de Villapourçon au moulin de Rangère.), dont · Pierre Derangère · Probablement Jehan Derangère · j'insère Benoist Derangère qui n'est pas obligatoirement frère de Pierre · Antoine Derangère qui n'est pas obligatoirement frère de Pierre Source Généanet pseudo:" yannboyer " Source Généanet identifiant: " drawing "
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